Puis au matin du 4ème jours, un message, à l’époque, c’était en 2010-2011, ben pas de whatsapp, uniquement SMS ou MMS. Mon portable sonne un coup puis deux, c’était Roger. Je revois le message qu’il m’avait écrit.
- Kikou, c’est Roger, on s’est baigné ensemble il y a quelque jours (la nuit ;o) ), écoute, mes parents me laissent seul avec le chat pour le week-end, ça te dirais de venir prendre le goûter ?
- Oui, je dois voir avec mes parents, mais ça devrait certainement le faire.
Evidemment que ça va le faire, rien ne pourrait m’empêcher d’y aller, je sentais déjà le sang me rougir le visage.
Rendez-vous pris pour 16h. Je suis un peu à l’avance, juste devant la porte de l’adresse indiquée, dans les hauts de Lausanne, je me demande si c’est bien que j’arrive trop vite ou si ça fait désespérer… J’attends un moment dans le parc en face, mais les secondes ressembles à des minutes, les minutes à des heures… 16h02 Je me dis que j’ai assez attendu, et qu’il va se passer encore un peu de temps avant que j’arrive devant sa porte…. 16h02, 25 secondes, je suis devant la porte, j’avoue n’en mener pas large…. Je sonne, et après quelques secondes, j’entends la gâche s’actionner. Je le vois ouvrir la porte, il ne me semblait pas du tout intimidé, alors que moi, je transpirais jusque dans mes chaussures.
Avec le grand sourire, il me fit entrer et j’arrivais directement dans le salon. Mais j’ai été surpris, que devant la TV, jouant à la console de jeux, un autre garçon se tenait là. Légèrement asiatique, eurasien, plutôt mignon, je me souviens m’être dit, mais qu’est-ce qu’il foutait là ? Roger devait être seul bordel ! Il détourna le regard de son jeu, me fit un petit signe de la tête, et me dit rapidement : Salut Isabelle, Roger m’a dit que tu allais passer, je m’appelle Michael, tu peux m’appeler Mick.
Roger me fit m’assoir sur le canapé, je suis mise tout à droite assez loin de cet inconnu, en laissant bien la place pour que l’objet de mes fantasmes s’installe à mes côtés…
Il apporta des rafraîchissements et 3 belles parts de gâteau aux fruits me disant que c’était sa maman qui les lui avait laissées. J’étais un peu intimidée, mais j’avoue que Roger et Michael s’entendaient vraiment bien et qu’ils avaient l’art de mettre à l’aise. Tous deux avaient 17 ans et moi, j’approchais de la date d’anniversaire de mes 16 ans. On a parlé en mangeant, en jouant un peu à Mario kart, et en rigolant beaucoup, et vous savez comment sont les jeunes (et moins jeune) qui en faisant mine de rien, sous couvert de parler de tout, on glissait quelques mots de sexe, ce qui me faisait regarder de manière plus appuyée le bermuda fin de Roger. Puis il se lève pour débarrasser et là je n’en crois pas mes yeux, je suis sure d’avoir vu qu’en passant devant Michael, il lui a passé la main dans les cheveux. Je n’y prêtais pas trop attention pensant que c’était un joke entre eux.
Roger revient de la cuisine, pendant que je regardais Mick jouer et essayer d’arriver au bout du 5ème monde de Donkey Kong Country. Roger, se mit à genoux par terre, je pensais que c’était pour s’appuyer sur la table, mais il s’approcha de Mick à auteur de son short tout fin. Je n’ai pas compris, mais il lui mit la main au paquet !!! Je pensais que Michael allait lui envoyer un coup de poing, mais en fait, il baissa un peu ses mains tenant la manette pour lui donner encore plus d’espace. Là mon Roger commença à vraiment passer les mains de façon plus invasives sur le sexe de son ami, je n’arrivais plus rien à dire, tellement que j’étais prise par surprise et Mick ne détournait pas les yeux du jeu. Après quelques minutes de labourage de sexe, Roger, glissa sa main directement sous l’élastique du short et le fit descendre jusqu’à dévoiler la queue de son pote. Elle était large, vraiment large, loin de l’idée que l’on pouvait se faire de la bite des asiatiques, longue et dressée dans la direction du plafond. Je n’étais pas au bout de mes surprises, toujours dans un mutisme du quel je n’arrivais pas à me sortir tant j’étais mi-choquée mi-intriguée.
Il se mit à sucer la grosse bite de son ami, je la voyais entrer et sortir de sa bouche, a un moment, il lui décalotta complètement le gland et commença à y faire des tours avec sa langue. En la prenant fortement dans sa main et serrant la queue au point que les veines ressortaient vraiment grosses, il me fixa des yeux comme si de rien n’était. Je n’arrivai pas à me ravoir, j’étais sous hypnose, comment osait-il me tromper, moi, avec un homme ? Je sais que nous ne nous étions même pas embrassé, mais dans ma tête d’adolescente, tout allait vite, trop vite même. Mais putain, j’avais quoi ? Ma chatte me brûlait, elle coulait abondement en mouillant mon petit leggin’s et ça commençait à se voir.
Roger cessa d’un coup son occupation, ce qui fit un peu râler Mick, pour se redresser de toute sa hauteur devant moi. Il me dit, désolé, je te choque ? Je ne sais même pas si tu es vierge, je comprendrais que tu te sentes mal à l’aise surtout si tu ne connais pas l’amour physique.
Ah non, lui avouer que j’étais vierge mais franchement, pas du tout, impossible pour moi, ma fierté pour ce qu’il en restait, me l’interdisait. – Non, je me suis entendu lui répondre.
Mes yeux quittèrent un moment les siens pour voir sa silhouette entière. Quand mon regard d’attarda sur son entre-jambe, je me suis entendu bénir que c’était l’été et la finesse des shorts qui ne cachaient pas grand-chose de ce que si trouvaient en dessous. J’ai vu son sexe en érection lever le frêle tissu et le tendre à la manière d’un bâton de tente. Pff, je devenais toute rouge, j’étais sûr qu’il voyait mon cœur sortir de ma poitrine. D’ailleurs, il ne fallut pas longtemps pour qu’il pose ses mains sur mes gros seins. Je le sentais les presser, puis relâcher sa pression pour resserrer son étreinte à nouveau. Je senti une petit vague d’électricité partir de mes tétons qui étaient de plus en plus sensibles à force de frotter contre les bonnets de mon soutient gorge, me parcourir le corps jusqu’à mon ventre comme des milliards de petits impulsions. Il leva mon tshirt, s’approcha contre moi pour passer ses bras autours de mon torse et atteindre la fermeture de mon sous-vêtement, comme j’étais encore assise, bien incapable de me lever d’ailleurs, j’ai dû m’avancer un peu sur le bord de l’assise. Je senti sa respiration contre mon cou, cela ajouta à la vague qui continua de descendre, passant de mon ventre à l’intérieur de mon vagin. J’avoue, j’étais excitée et Mick qui regardait la scène et pour maintenir son érection se masturbait sans éprouver aucune gêne, l’était tout autant que moi. L’agrafe de mon soutif l’achat d’un coup, mes seins se déployèrent de toutes leurs grosseurs, heureux de leur liberté retrouvée.
Roger sembla un peu surpris et me dit – On devine bien qu’ils sont énormes, mais c’est encore plus impressionnant de les voir en vrais, la dernière fois, dans l’eau, je n’ai pu que les deviner. Il prit ma main, ma replié un peu les doigts avant de la poser sur son sexe. Je tremblais, doux mélange de sortie de l’innocence et la découverte de cette nouvelle sensation. Au début Roger me maintenait la main contre lui, mais doucement desserra son étreinte à fur et à mesure que je prenais de l’assurance.
– Tu peux me retirer le short, ça sera plus simple… Tu as déjà sucé une bite de garçon ? Je lui fis un petit signe de la tête que oui, après-tout, j’avais regardé suffisamment de films X sur le sujet.
En lui baissant son short, j’ai pu voir qu’il ne portait rien en dessous. Moi j’étais assise sur le bord du canapé, à hauteur de sa queue si attirante, qui s’approchait de ma bouche me faisant légèrement loucher. D’une main, je me saisis de son engin, l’autre, je la passais derrière lui pour lui attraper les fesses. J’avais vu comment il avait fait avec Mick, je me suis mise à l’imiter. C’était la première fois que je ressentais la sensation d’une queue dans ma bouche, elle était humide, parcourue de micro palpitations. Dans les pornos, on ne réalise pas le goût. Bien que délicat, au début, ça m’écœurais un peu. Petit à petit le dégout fit place à la norme, je me surpris à me sentir de plus en plus à l’aise avec sa queue raide que je sentais parfaitement sous mon palais et qui m’endolorissait un peu la bouche à force de la garder ouverte. Mais l’envie de lui faire plaisir, de lui faire du bien, montait en moi, je passais par-dessus mes appréhensions commençant même à vraiment aimer ça, je le suçais avec de plus en plus d’assurance. Pendant ce temps, il me tenait délicatement le visage, avec une main de chaque côté, je l’ai senti me lâcher et tourner un peu son torse en se penchant. Je pensais faire quelque chose de mal, et en continuant de le masturber avec ma main, je recule un peu mon visage pour mieux voir ce qu’il faisait. En fait, il s’était penché et avait saisi fermement le sexe de son copain ce qui l’obligea à se relever et venir se mettre près de nous. Mick, la bite prise, profita de ses mains libres pour retirer son tshirt et celui de Roger. Ils étaient tous deux nus devant moi, mais je n’étais pas au bout de ma surprise. Ils commencèrent à s’embrasser, j’étais fascinée par l’érotisme que leur baiser dégageaient, vraiment les voir les deux sans aucunes pudeur me lançait dans toutes mes entrailles.
En embrassant Roger, la queue de Michael se trouvait devant moi. Je ne savais pas exactement quoi faire, de ces deux sexes pointés vers moi ; je pris la décision de continuer à sucer Roger mais de prendre la bite de Mick dans ma main. Je senti que la place était prise par une main qui, placée sous la queue, faisait déjà des vas et viens. Je commençais à me laisser prendre au jeu qui devenait de plus en plus lubrique à mesure que mes défenses psychologique me lâchaient. J’imposais ma main jouant avec ce sexe de jeune homme à la fleur de l’âge. Ils s’embrassaient toujours, je voyais leur langues se croiser, sortir de leur bouche pour continuer à nouveau leur jeu coquin dans la bouche de l’un puis de l’autre.
D’un coup, je sentis le corps de Roger se tendre, parcouru de frissons, il retira ma tête de son sexe, et d’un geste doux mais fort, me fit pivoter sur le canapé et je me retrouvais couchée, ma grosse poitrine de jeune fille à peine aplatie à cause de la gravité. Là, Roger s’assit sur le canapé au niveau de mon crâne, me souleva doucement la tête pour venir positionner ses jambes en dessous, me procurant un cousin et la vue depuis le bas sur son torse. Jusqu’à présent, j’avais à peine pu le détailler, mais là, je ne me lassais pas, c’était merveilleux à voir, lui aussi avait les tétons qui pointaient de manière bien visible. Il me saisit les seins et me les massa en faisant des petits tours de l’extérieur, bien au bord, « comment avait-il su que c’était une partie si sensible alors que moi-même le découvrait en cette instant ? » et remontant vers l’intérieur, effleurant de ses doigts agiles les deux boutons de mes tétons prêts à exploser et augmentant encore les sensations qui me tiraillaient la vulve alors que je pensais déjà avoir atteint le plaisir maximum. Je sentais sa queue dure sur le sommet de mon crâne contre mes cheveux comme un morceau de bois vivant.
Mick, lui se positionna de l’autre côté pour me relever les jambes et retirer d’un coup mon leggin’s et ma culotte laissant ma chatte, sans protection…
– Regarde comment elle est mouillée en passant son doigt et le montrant à son binôme…. C’était un peu bizarre de l’entendre parler, il avait été si discret depuis la pipe que lui avait prodiguée Roger.
Je senti ses doigts se promener doucement sur mes grandes lèvres avant d’en écarter les petites… Il mit sa tête entre mes jambes, et je senti le contact humide de sa langue qui se faufilait cherchant mon clitoris… une fois trouvé, il ne le lâcha plus. Quel doux mélange que cette peur de ne pas sentir bon, de ne pas avoir « bon » gout avec son aplomb de ne pas me lâcher…
Les caresses de Roger qui maintenant serrait plus fort mes seins et qui s’élargissait jusqu’à mon ventre sans montrer aucun signe de fatigue, drainait les frissons en direction de ma chatte. Il arrête les mouvements en se contentant de tenir fermement mes seins pour se baisser et commencer à m’embrasser. Je compris rapidement le plaisir qu’avait eu Mick quand il lui fourra la langue dans sa bouche, c’était tellement sensuelle, ça me tenait les sens en éveils… Je sentis une chaleur monter en moi, forte puissante, venant simultanément de mes reins, de mon ventre et de mon sexe, comme une gigantesque explosion en moi. J’avais le feu, je ne contrôlais plus mon corps et ne cherchait d’ailleurs plus à le contrôler laissant la partie animale que j’avais en moi sortir, exploser. Même en me masturbant, jamais, je n’avais connu ça, une émotion qui monte jusque dans ma tête, en fait, un mélange d’émotions, j’avais envie de rire, de pleurer en même temps. Mon clito était devenu tellement sensible que je dois l’extraire à la bouche de mon partenaire imprévu… – Tu veux à boire ? Me proposa Roger. Je ne pouvais rien dire, les larmes de joies étaient descendue jusqu’à mes lèvres me faisant sentir leur gout légèrement salé qui me desséchait un peu plus la bouche…